Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de la Belle. Ce soir elle retrouverait son amant qui passerait la prendre chez elle en début de soirée. Il lui avait aussi promis une surprise qu'elle devait recevoir ce matin par la poste.
La Belle était dans sa salle de bain et après avoir pris sa douche elle vérifia que son pubis était bien rasé. Son amant aimait quand elle était douce et lisse à caresser. Il aimait aussi la savoir ainsi nue sous sa jupe ou sa robe surtout lorsqu'ils sortaient ensemble. C'est le mari de la Belle qui avait été surpris de la découvrir un jour ainsi rasée. Car la Belle avait un mari auquel elle avait du ce jour là inventer une soudaine envie de suivre une mode orientale qui fait que le pubis des femmes est intégralement épilé. Mais aujourd'hui son mari était absent, en voyage d'affaire, et la Belle goûtait par avance et sans scrupule les plaisirs que réservait cette soirée avec son amant. La sonnerie de la porte la fit revenir à la réalité. Elle enfila un peignoir et ouvrit au livreur. Il lui tendit une boite de taille moyenne avec un grand sourire. La Belle le remercia, referma sa porte et posa le paquet sur sa table. Une enveloppe à son nom avait été collée sur le paquet avec une mention: "A lire avant d'ouvrir le paquet". La Belle décacheta l'enveloppe et lu le texte qui s'y trouvait:
"Bonjour ma Belle, Il me tarde de te retrouver ce soir pour passer avec toi une autre de ces soirées inoubliables. Je t'apporterais ce soir la tenue que j'ai envie de te voir porter. Je pense que tu sais déjà comment j'aime que tu te prépares pour nos rendez-vous. Aujourd'hui, j'ai ajouté une petite surprise pour toi. C'est en quelques sortes mon premier cadeau pour ton anniversaire. Dans quelques instants tu pourras ouvrir la boite mais attention : si tu l'ouvres, il te faudra faire TOUT ce que la lettre qui se trouve à l'intérieur te demande. Tu peux aussi choisir de ne pas ouvrir le paquet et tu ne sauras jamais ce qu'il contient. A toi maintenant de savoir si ta curiosité te permettra de résister à cette envie.
A ce soir, Baisers" La lettre s'arrêtait là. La Belle regarda le paquet, le souleva et le trouva plutôt léger. Elle tenta de le secouer pour deviner son contenu. Mais le bruit ne lui permis de savoir ce qu'il pouvait bien contenir.
La Belle n'hésita pas longtemps. Son amant la connaissait trop bien et il savait qu'elle ne pourrait pas résister longtemps à l'envie de savoir ce qu'il y avait dans ce paquet. Rapidement, elle déchira l'emballage, coupa les morceaux de toile collante et ouvrit la boite. Une enveloppe brune était visible collée sur une sorte de sac de mousse qui entourait une forme aplatie.
La Belle ouvrit l'enveloppe et en commença la lecture. "Ma Belle, Tu as donc choisi de découvrir ce que cachait cette boite. Tu dois maintenant suivre mes instructions sans pouvoir t'y dérober.
A ce soir."
Suivait une série d'instructions. La Belle respira profondément et tout en lisant la lettre de son amant, elle exécuta les ordres qui y étaient donnés.
Elle retira la toile de mousse et découvrir une drôle de bande métallique, qui formait presque un rond et à laquelle était attaché deux chaînes plates. Une autre plaque métallique percée au centre par une fente était attachée aux chaînes. Un cadenas et une autre plaque étrange étaient aussi dans le sac de mousse. La Belle ne comprit pas tout de suite ce qu'était cet objet et se ne fut qu'en soulevant l'ensemble qu'elle compris. Il s'agissait d'une ceinture de chasteté. D'un coup le cœur de la Belle se mit à battre à toute allure. C'était la première fois qu'elle voyait l'un de ces objets mythiques dont parlaient certains textes historiques. Elle regarda de plus prés l'objet et essaya de deviner comment il devait être une fois placé sur le corps d'une femme. La bande métallique en forme de ceinture devait entourer la taille et être tenue fermée par un cadenas sur le devant. L'autre plaque devait venir se placer sur le pubis et recouvrir le sexe à l'exception de la partie visible par la fente. Cette plaque pubienne devait venir s'ajuster à la ceinture et y être maintenue en place par le cadenas. La fente avait environ un centimètre de large sur quelques centimètres de long, juste assez pour s'ajuster aux lèvres du sexe et permettre à la femme de se rendre aux toilettes. La largeur ne permettait pas, toutefois, à un doigt d'y pénétrer. Les deux chaînes étaient attachées ensemble par un anneau à la plaque pubienne tandis que les autres extrémités étaient attachées à la bande de la ceinture à environ 20 centimètres l'une de l'autre. Une fois la ceinture en place, les chaînes devaient traverser les fesses en diagonale, laissant l'anus à peine découvert.
La plaque supplémentaire, non attachée à l'ensemble, comportait une sorte de petite boite dont les cotés étaient fait de petites tiges métalliques assez resserrées. Le dessus de cette cage était percé par une multitude de petits trous. La Belle comprit vite que cette deuxième plaque devait venir se placer au- dessus de la plaque pubienne et ainsi former une sorte de cage au-dessus de la fente de la plaque pubienne. Une fois cette plaque installée, il ne devait plus être possible de toucher les lèvres du sexe.
La Belle était traversée par un sentiment étrange, doux mélange d'appréhension et aussi, elle devait le reconnaître d'excitation. Elle resta ainsi un long moment à tourner et retourner la ceinture sans savoir si elle allait ou non se décider à la mettre. Elle ressentait une forte envie d'essayer la ceinture mais en même temps, elle voyait en cet objet un instrument barbare qui avait été tant décrié et qui était perçu dans la société comme un vestige d'un temps révolu.
La Belle décida enfin d'essayer la ceinture. Avec hésitation elle écarta la bande métallique de la ceinture afin de pouvoir la placer autour de sa taille. Elle plaça face à elle l'ouverture et dut forcer pour refermer la ceinture tout en se vidant de tout son souffle pour y réussir. Elle réussit à emboîter les ergots qui la maintenaient fermée. La ceinture était très serrée et la Belle se demanda comment il pouvait être possible de la porter longtemps.
Comme l'indiquait la lettre de son amant, elle attrapa ensuite entre ses jambes l'autre plaque métallique et la tira par l'avant. Elle tenta d'en placer l'extrémité opposée aux deux chaînes dans les deux ergots de la ceinture. Elle du là aussi forcer et elle sentit les deux chaînes se plaquer à ses fesses. La plaque percée par une fente vint se plaquer sur son sexe. Après quelques instants, la Belle réussit enfin à emboîter la plaque pubienne dans la ceinture. La plaque pubienne appuyait si fermement sur son pubis et sur son entrejambe que les lèvres de son sexe étaient passées au travers de la fente et qu'elles en ressortaient ! La Belle comprit tout de suite l'utilité de la deuxième plaque en forme de cage pour qui voudrait empêcher une femme ainsi équipée de pouvoir se donner du plaisir en l'empêchant de pouvoir toucher ses lèvres et son clitoris.
La Belle n'avait pas encore ajouté cette deuxième plaque. Elle sentait qu'elle devenait de plus en plus excitée et elle commença à essayer de glisser ses doigts sur ses lèvres. La fente n'était pas assez large pour lui permettre d'aller très loin mais elle pensa qu'il devait être tout de même possible de se faire jouir. Par contre il ne lui était pas possible de glisser très loin ses doigts sous la plaque. Avec une telle ceinture une femme pouvait oublier toute idée d'être pénétrée par un homme ou par un objet mais elle pouvait encore obtenir son plaisir en se caressant ou par l'action de la langue agile d'un amant.
La Belle n'avait pas placé le cadenas sur la ceinture. Il y avait une bonne raison à cela : le paquet ne contenait aucune clef pour l'ouvrir et elle hésitait encore à fermer la ceinture…Elle relut la lettre de son amant et pris sa décision. Elle installa la deuxième plaque en la glissant en bas de la plaque pubienne dans un cran prévu à cet effet et l'assembla avec la première dans les ergots de la ceinture métallique. Puis très vite elle mis le cadenas en place et le ferma. Au moment même où elle entendit le "clic" du cadenas, elle regretta son geste car cet "habillage" l'avait follement excitée et elle avait maintenant pour seul désir d'assouvir son envie de jouir. Mais ses doigts ne pouvaient plus maintenant toucher ses lèvres à cause de la deuxième plaque et elle n'arrivait pas à glisser sa main sous la plaque même en étant allongée.
La pression de la plaque sur son pubis et les frottements des ses livres dans la fente de la plaque à chacun de ses mouvements la maintenait constamment excitée. Elle avait en plus l'impression que le fait de savoir son sexe ainsi inaccessible renforçait son envie d'être pénétrée et de jouir. La Belle commença alors une longue journée de frustration simplement vêtue de cette ceinture de chasteté comme lui avait demandé son amant.
~~ Chapitre 2 ~~
A 20h00, son amant sonna enfin. La Belle se dépêcha de lui ouvrir en espérant qu'il la libère de cette ceinture qu'elle portait depuis presque 10 heures. Son seul désir était qu'il la prenne tout de suite afin de satisfaire cette envie qui ne l'avait pratiquement pas quittée depuis le matin.
Son amant l'embrassa et la regarda. Ses yeux brillaient du plaisir de la voir ainsi et de constater qu'elle avait obéi à sa demande. D'un coup il ressentit lui aussi un désir soudain de lui faire l'amour. Mais la soirée ne faisait que commencer…
Il referma la porte et doucement la fit tourner devant lui afin de regarder en détail la ceinture sur le corps de sa maîtresse. Les dimensions étaient parfaites et la ceinture était bien ajustée. Il vérifia la solidité de la fermeture, caressa la plaque pubienne et constat ainsi que le sexe de sa Belle était à l'abri des convoitises. La Belle se plaqua contre lui et lui demanda de lui retirer cette ceinture et de lui faire l'amour.
Mais l'homme refusa et ouvrir un petit sac qu'il avait apporté. Il en sortit une paire de bas noir qui pouvaient tenir sans porte-jarretelles, une robe rouge assez courte faite dans un velours un peu épais et une paire d'escarpins à talons fins. Il tendit les bas et les chaussures à la Belle et lui conseilla de se préparer pour leur sortie. La Belle comprit que son amant avait décidé de la faire sortir ainsi. Elle enfila les bas et les chaussures.
La Belle revint vers son amant. Il lui demanda de fermer les yeux, de placer ses mains derrière son dos et d'écarter le jambes. La Belle s'exécuta. Elle sentit que son amant remuait le cadenas et l'ouvrait. Elle espéra qu'il allait la libérer. "Gardes tes yeux fermés" lui dit-il. Il retira les deux plaques des ergots de la ceinture métallique. La Belle sentit la pression de la plaque disparaître. Rapidement son amant pris un objet dans le sac et la Belle senti qu'un objet était présenté devant les lèvres de son sexe. Doucement, son amant le fit pénétrer en elle sans peine tellement elle était humide et ouverte. La Belle gémissait en se sentant remplie par un phallus de caoutchouc dont la surface était recouverte de petit picot. Lorsque le gode fut entièrement en elle, son amant replaça rapidement les deux plaques sur la ceinture et la Belle entendit à nouveau le son du cadenas qui se refermait.
"Tu peux rouvrir les yeux". Son amant l'embrassa tendrement et lui dit "tu es ce soir la femme la plus excitante et la plus inaccessible que je connaisse". Il l'aida à passer la robe. Elle se regarda dans la glace de l'entrée de son appartement et essaya de deviner si la ceinture était visible sous sa robe. Son amant avait bien choisi le tissu car il lui semblait que la ceinture et les chaînes ne marquaient pas le tissu. Ils quittèrent l'appartement. A chaque pas, la Belle sentait le gode bouger en elle et son excitation augmentait. Au sourire présent sur les lèvres de son amant, elle sut que ce dernier savait ce qui se passait en elle. Arrivée en bas du bâtiment, son amant lui dit "Il fait doux ce soir, allons au restaurant à pied". La Belle se sentit défaillir en imaginant la distance qu'il lui faudrait parcourir avec ce cylindre de caoutchouc qui la remplissait. Elle n'aurait pas pu décrire ce qu'elle ressentait à se savoir ainsi pénétrée et pourtant incapable de toucher son propre sexe. Les mouvements du gode et la pression de la ceinture l'excitait mais cela ne suffisait pas à la faire jouir. Ils arrivèrent au restaurant. Son amant avait réservé une table dans un coin tranquille du restaurant et il l'invita à s'asseoir. "Fais attention à ta robe" lui dit-il avec un sourire. La Belle comprit ce que voulait son amant et elle essaya de s'asseoir le plus discrètement possible tout en relevant sa robe. Elle sentit sur ses fesses le contact de la paille qui recouvrait la chaise et elle poussa un gémissement car, en s'asseyant, elle appuyait sur la deuxième plaque de sa ceinture et elle poussait ainsi plus loin en elle le phallus qui la remplissait. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir plus fort en plein restaurant.
Le repas se déroula dans une ambiance feutrée. Heureusement la lumière n'était pas trop forte et les gens qui les entouraient ne voyaient pas les mouvements des hanches de la Belle qui ondulait sur son siège. Son amant la questionna doucement sur cette journée qu'elle avait du passer dans sa ceinture et si elle aimait cela. Elle ne put pas faire autrement que d'avouer qu'elle adorait ce qu'elle était en train de vivre. Mais elle ajouta aussitôt qu'elle avait une envie folle que son amant la libère et la prenne.
Ils en étaient au dessert quand son amant lui sourit en sortant deux petites boites de sa poche. "J'ai trois surprises pour toi ma Belle. Voici la première. Bon anniversaire !" La Belle ouvrit la boite et y découvrit une bague merveilleuse. Elle lui sourit folle de joie. "Ma deuxième surprise la Belle : épouse-moi. J'ai envie que tu sois à la fois ma femme et ma maîtresse et d'être à chaque instant avec toi. Acceptes-tu ?". Il se leva pour aller l'embrasser. La Belle ne savait plus quoi dire tellement elle était émue. Elle dit simplement "Oui". "Alors, lui dit-il, voici ta troisième surprise. Le plaisir que tu vas maintenant ressentir n'est que le début de tout le plaisir que j'ai envie de te donner". Il pris la deuxième boite qui était une petite télécommande et plaça son doigt sur le petit bouton qui en dépassait. La Belle resta une seconde sans comprendre puis, au moment ou son amant appuyait sur le bouton, elle sentit le cylindre qui était en elle se mettre à vibrer doucement. "Essayes de te retenir et ne pas jouir en public" lui dit son amant avec un sourire.
La Belle avait du mal à se retenir. Les vibrations augmentaient encore son excitation. Le cylindre touchait son clitoris et elle du à nouveau se mordre les lèvres pour ne pas se mettre à gémir de plaisir. Discrètement son amant manipulait une molette sur la télécommande et il augmentait ou réduisait la force des vibrations selon les réactions de la Belle. Il la poussait juste au bord de l'orgasme et réduisait alors les vibrations. Il buvait tranquillement son café en la regardant. La Belle, elle, était incapable d'avaler quoi que ce soit.
Ce petit jeu dura pendant tout le retour jusqu'à l'appartement. La Belle du s'arrêter de marcher 3 fois et s'appuyer à son amant pour reprendre son souffle et ne pas jouir en pleine rue. Son amant regardait alors cette superbe femme dont le regard devenait vague pendant quelques secondes et qui ondulait, plaquant son ventre au sien lorsqu'elle se serrait contre lui.
Sitôt qu'ils entrèrent dans l'appartement, la Belle embrassa fougueusement son amant et lui dit "baise- moi, vite viens en moi". Mais son amant ne l'entendait pas de cette oreille. "Retires ta robe" lui dit son amant. La Belle s'exécuta et la robe tomba à ses pieds. Il sortit tout d'abord du sac qu'il avait apporté un bandeau noir qu'il plaça autour des yeux de la Belle. Elle était maintenant totalement incapable de voir quoi que ce soi. Son amant attrapa alors au fond du sac quatre bracelets de cuirs qu'il plaça autour des poignets et des chevilles de la Belle. Il plaça les poignets de la Belle dans le dos et y attacha ensemble les deux bracelets.
Puis il la poussa vers un table et la fit s'y allonger, le ventre contre le plateau de la table. L'homme écarta les jambes de la Belle et attacha chacun des bracelets qu'elle portait aux chevilles aux pieds de la table par une petite corde. Il glissa ensuite une corde plus longue sous les aisselles de la Belle, en travers de son dos, et en attacha chaque extrémité aux deux autres pieds de la table. Une deuxième corde vint la forcer à plaquer son ventre sur la table.
La Belle était maintenant maintenue dans une position où elle devait rester les reins cambrés et la croupe offerte. Sauf que la ceinture interdisait tout accès à son sexe ! Elle tenta d'imaginer l'image que devait en avoir son amant et cela la fit gémir encore plus. Son amant fit le tour de la table et se plaça devant elle. La Belle avait la tête qui dépassait de la table. Son amant ouvrit la braguette de son pantalon et la Belle comprit qu'il avait l'intention qu'elle le prenne dans sa bouche. Il sorti son sexe et le présenta devant la bouche de la Belle. Celle ci commença doucement à sucer le membre de l'homme et elle tenta de compenser son impossibilité d'utiliser ses mains ou de bouger par l'agilité de sa langue. Au bout de quelques minutes, l'homme commença à gémir. Il se retira de la bouche de sa maîtresse et d'un geste vif il y enfonça à la place un bâillon fait d'une boule de plastique mou et d'une sangle qu'il attacha derrière la tête de la Belle. La Belle ne pouvait maintenant plus que gémir sans pouvoir parler ou crier.
Il fit alors le tour de la table. La Belle espérait que l'homme allait maintenant retirer la ceinture de chasteté et venir en elle. Mais, à sa surprise, l'homme écarta juste les chaînes et appuya son sexe sur l'entrée de son anus. Doucement il se glissa en elle en prenant soin de ne pas aller trop vite et de laisser le temps à sa maîtresse de s'habituer. Lorsqu'il fut assez profondément en elle, il appuya à nouveau sur la télécommande et le phallus de caoutchouc se remit à vibrer dans le ventre de la Belle. Celle ci devenait folle de désir et d'excitation. Son ventre était en feu sous l'action du gode et elle commença à gémir de plus en plus fort tout en faisant onduler ses hanches à la rencontre du sexe de son amant. Celui ci l'attrapa par les hanches et se mit à aller et venir en elle, tout d'abord lentement puis de plus en plus vite. La Belle sentit l'orgasme monter en elle et n'y tenant plus, elle se cabra d'un coup sec, faisant presque sortir son amant de ses reins. L'homme accéléra la cadence et la prit de plus en plus brutalement et sauvagement, déclenchant en elle plusieurs orgasmes de suite. Enfin, il explosa et se vida en elle.
Il restèrent ainsi quelques instants. Puis l'homme se retira et se rajusta. Il la détacha lors de la table mais lui laissa les poignets liés dans le dos et les chevilles attachées aux pieds de la table. La Belle se redressa incapable de dire un mot à cause du bâillon. Son amant ouvrit le cadenas et retira les deux plaques des ergots de la ceinture métallique. Il retira ensuite du sexe de la Belle le gode en caoutchouc. La Belle pensait qu'il allait lui enlever la ceinture mais l'homme replaça les deux plaques dans la ceinture et remit le cadenas en place. Alors seulement il retira le bâillon et les liens qui maintenaient encore la Belle. Alors il embrassa tendrement la Belle et lui dit à l'oreille:
"J'espère que tu as passé une bonne soirée. Puisque tu es à moi maintenant, je te laisse ce petit cadeau d'anniversaire. Tu as tout juste le temps de t'y habituer avant le retour de ton mari…"
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